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monothéisme

  • Espèce de créature !

    créature d'allah

    Si vous avez des amis musulmans (ou disons des connaissances), vous les avez probablement déjà entendu dire une ânerie du genre « Nous sommes tous des criatures d’Allah ! » Les juifs ou les chrétiens sortent régulièrement le même genre de sornettes, en plus policé. Avec le monothéisme, l’homme devient une sorte de produit manufacturé.

    S’imaginer qu’un bonhomme imaginaire est à l’origine de notre vie est l’un des plus beaux exemples du pouvoir de l’imagination et de l’aveuglement volontaire. Le dernier des imbéciles sait qu’il vient du ventre de sa mère, laquelle est née de sa mère, et ainsi de suite. Depuis plus de cent ans, on sait grâce à Darwin que l'espèce humaine n’a pas été modelée façon Play Do, mais qu’elle descend d’autres espèces.

    Les récits de la Genèse et cie, en dépit de toutes les contorsions et tours de passe-passe rhétorico-théologiques imaginables, ne valent pas mieux que les cosmogonies des Apaches ou des Mohicans. Tout au plus peut-on envisager une vague et lointaine « cause première », comme Aristote l’avait théorisé des siècles avant l’émergence du christianisme.

    Mais en dépit de ces évidences, les Frankenstein monothéistes continuent de nous bassiner avec leurs histoires de création, à grands coups de comparaisons plus bancales qu’une table bicentenaire. Il faut dire que ce bon Voltaire en personne a raconté des bêtises de ce genre. Il ne concevait pas cette horloge qu’est, selon lui, le monde, sans horloger. Pour ma part, je ne vois pas trop de ressemblance entre la planète terre et une horloge... 

    Et quoi, comparer le monde à un produit fabriqué est censé prouver que le monde a été lui-même fabriqué ? Il faut être complètement stupide pour ne pas voir ce que ce genre de raisonnement a de pourri. Moi je ne connais pas d'horloge sans aiguilles, et je n'ai pas encore vu celles de la terre.

    Dans le même registre, j’ai entendu un...hum...bruxellois dire qu’on ne faisait pas pousser une plante sans pot, sans terre et sans arrosage. Faut pas le répéter trop fort, mais il y a dans mon jardin plusieurs arbres qui n’ont eu besoin d’aucun arrosoir ni d’aucun pot de terre pour grandir. Quant aux fleurs, elles se sont épanouies sans jardinier ni arrosoir. Le soleil et la pluie, que vénéraient jadis ces arriérés de païens, les ont fait pousser toutes seules.

  • L'islam selon Fabius, Obama et cie

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    Depuis quelques jours, des dizaines d'experts souvent autoproclamés (Fabius, Obama, journalistes...) en histoire des religions nous expliquent que les islamistes de l'EEIL prêchent un faux islam, que l'islam ça n'a jamais été ça, que c'est tout fleurs et violettes. Les autorités musulmanes, après des années de silence écrasant, condamnent à tout va.

    La religion, dans l'affaire, ne serait qu'un prétexte. On aurait juste affaire à des bandits de grand chemin. Curieux prétexte, qui pousse les gens à risquer leur vie. Curieux "bandits" qui se mettent délibérément des états entiers à dos, sacrifient parfois leur existence en criant des formules religieuses. Clairement, s'il existe bien sur des gens qui ont envie de s'enrichir, en faire le seul moteur de l'action des terroristes est indéfendable.

    Je comprends bien aussi que le musulman moyen n'est pas comme ça, que ce n'est pas un djihadiste. Le communiste moyen, dans les années 50, n'était pas forcément gardien de goulag, et pensait souvent sincèrement œuvrer à un monde meilleur. ça ne fait pas pour autant de leurs idéologies globales des merveilles inoffensives.

    Qui plus est, distinguer entre un vrai islam et un faux islam, c'est une distinction de croyant monothéiste, pas d'intellectuel. Ceux qui se réclament d'un livre sacré d’une religion et basent leur vision du monde dessus, même de manière fantaisiste, font bien partie de la religion en question. Les cathares, par exemple, sont considérés par tous les historiens modernes comme des chrétiens, même s'ils sont un peu particuliers. De même pour les ophidiens, les aphtartodocètes et j'en passe. Un catholique vous dira que ce n'étaient pas des chrétiens, mais comme je l'ai dit, cela procède d'une logique dogmatique, qu'il est bien curieux de voir adopter par notre système politico-médiatique.

    Et tant qu'on y est, à parler de livre sacré, de califat, je ne sais pas où les gens qui disent que "l'islam ça n'a jamais été ça" ont appris ce qu'était l'islam, mais moi je n'ai pas souvenir que les califats du passé aient été, surtout au début, des exemples de douceur et de tolérance. Haroun Al Rachid, il est vrai, était plutôt chouette. Le calife Omar un peu moins.

    Pour ce qui est du prophète, qui demeure à moins que ça ait changé, le modèle du croyant musulman, il me semble bien aussi qu'il ait été plutot du genre belliqueux et intolérant. Il n'hésitait d'ailleurs pas trop à faire égorger ceux qui lui déplaisaient, de la poétesse Asma Bint Marwan aux prisonniers de guerre.

    J'aimerais donc savoir à quoi rime ce grotesque cours collectif d'histoire des religions donné par Fabius, Obama, les chaines d'infos et autres gugusses (rejoints, depuis avant hier par diverses autorités musulmanes), dans l'espoir de nous faire gober de pareilles insanités. Vous avez une idée ?

  • La pornodépendance : une imbécilité féministo-religieuse

     J’ai découvert il y a quelques temps l’idée de « dépendance à la pornographie », qui fleurit sur le net. Endoctrinés par cette imbécilité, essentiellement relayée par le christianisme et le féminisme, des dizaines de pauvres bougres s’imaginent pollués, pervertis, parce qu’ils se tripotent de temps en temps devant un porno, ce qui, avouons-le, n’a rien de dramatique.

     

    S’ensuivent des « journaux de sevrages », sur certains sites, dans lesquels ces pseudos-malades détaillent leur vie sexuelle dans les moindres détails. Au bout d’un temps, et en dépit de leurs serments, ils finissent par « rechuter » (traduction : ils se branlent un bon coup, comme tous les hommes depuis la nuit des temps lorsqu’ils n’ont pas à portée une compagne prête à baiser 3 fois par jour). S’ensuivent de nouvelles promesses, de nouvelles résolutions tout aussi vaines, de nouvelles rechutes, etc. Au bout d’un temps plus ou moins long, ils disparaissent des sites ou des groupes de paroles, sans donner de nouvelles.

     

    Même chez ceux qui disent ne pas avoir la foi, on décèle un vocabulaire judéo-chrétien très prononcé : tentation, rédemption, pulsions diaboliques, etc, ainsi qu’une culpabilisation omniprésente, motivée par des fautes imaginaires ou exagérées. Ce qui prouve, en dépit de leurs protestations indignées, que leur délire n’est qu’un avatar moderne du moralisme sexuel abrahamique, dont on connait les travers et les hypocrisies.

     

    Bientôt, ce n’est plus seulement le porno qui est dénoncé, mais la masturbation elle-même, perçue comme non-naturelle. Bien sûr, ce « combat » est perdu d’avance, pour des raisons assez évidentes. (« tout coule », disait Héraclite, à croire que le phallus n’échappe pas à cette loi universelle) A la clé, culpabilité, haine de soi, honte de n’avoir pas su contenir un jus de bite qui devait fatalement s’évacuer. En un mot, nous voila revenu à la pire connerie moyenâgeuse possible.

     

    Le plus drôle, c’est que sur ces fora censés sevrer les gens, on ne parle de rien d’autre que de la grosse bite en bois ! Aucune discussion sur l’art, la philosophie, la littérature, l’actualité. Rien d’élevé, surtout. Juste le service trois pièces, dans son insondable grandeur. C’est comme si des drogués voulaient se soigner en ne parlant que de drogue. Pire encore, on a l’impression que ces gens prennent un plaisir malsain à raconter leurs problèmes sexuels à des inconnus.

     

    Résumons donc :

    -Lutte perdue d’avance contre des instincts naturels

    -Culpabilité artificielle, née de cet échec provoqué

    -Morale moisie, issue en droite ligne des religions révélées.

     

    Le monde est plein d’idées chrétiennes devenues folles, disait un écrivain. L’idéologie de la « pornodépendance » en est une parfaite illustration.

     

    Pour finir, voici une critique « live » de ce phénomène sur un forum dédié à la pornodépendance. Les divers arguments de part et d’autre sont avancés. Je vous laisse vous faire votre propre idée.

     

     http://pornodependance.vraiforum.com/t1119-L-avis-d-un-sceptique.htm#p33074

     

     

    Et pour le plaisir, un article d’un site chrétien anti porno : vous y apprendrez que faire des cochonneries en regardant Youporn attriste le saint esprit, et peut mener à l’homosexualité (terrible n'est-ce pas ?)

     

     

    http://www.nycodem.net/lecture/exhortation.php?id=293