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19ème

  • L’hystérie : symptômes, causes, traitement

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    On connait tous des hystériques. Sur le net, ils répondent à une simple boutade par des monologues interminables. Au quotidien, ils traitent de fascistes tous ceux qui ne sont pas de leur avis, sans être capables de définir ce qu’est ce fascisme tant détesté. Ils ne comprennent pas le second degré. Ils ne supportent pas la contradiction. Leur culture est au mieux basique, au pire inexistante. Ils sont, le plus souvent, de gauche.

    Pourquoi l’hystérie est-elle un problème ? Parce qu’elle stérilise tout échange. La base d’un dialogue enrichissant est le respect mutuel et la pondération. Ne pas insulter son interlocuteur, répondre de façon proportionnée (on ne poste pas un pavé pour répondre à une simple phrase), etc. Bref, être bien élevé et mesuré. L’hystérique n’a que faire de tout ça. C’est pourquoi il (ou, bien souvent, elle) doit être soigné.e, dans la mesure du possible.

    Premier constat : le concept d’hystérie est pertinent. La preuve ? Les hystériques détestent qu’on les appelle ainsi, de même que les fous détestent qu’on les dise fous. C’est le meilleur indicateur qui soit. Ça montre qu’on met le doigt sur un point sensible. Qu’on touche à une certaine vérité. En plus, c’est un concept grec, et les Grecs de l’antiquité avaient raison sur à peu près tout, c’est bien connu.

    Théorisée par Hippocrate, l’hystérie nous est expliquée en détail par Platon, célèbre penseur d’extrême droite :

    « La matrice est un animal qui désire ardemment engendrer des enfants ; lorsqu'elle reste longtemps stérile après l'époque de la puberté, elle a peine à se supporter, elle s'indigne, elle parcourt tout le corps, (…) jetant le corps dans des dangers extrêmes, et occasionnant diverses maladies, jusqu'à ce que le désir et l'amour, réunissant l'homme et la femme, fassent naître un fruit. »

    Ce que nous dit en termes châtiés Platon, qui se montre véritablement prophétique dans ce passage, c’est que toutes les féministes, écologistes, marxistes et autres givrées agressives qui défilent sur les plateaux télé sont purement et simplement des mal baisées. Les psychiatres du 19ème siècle, qui savaient mieux lire le grec que nos contemporains, avaient parfaitement assimilé la sagesse antique et bricolé des godemichets à manivelle pour tenter de guérir les suffragettes et autres cinglées du genre, hélas sans succès. Et maintenant que nous avons toute la technologie nécessaire, c’est l’idéologie qui s’en mêle, et empêche de soigner ces malheureuses. Regardez Greta Thunberg, et vous comprendrez que cette petite anormale n’a besoin de rien d’autre que de connaître l’amour pour arrêter de nous bassiner h24 avec ses histoires de réchauffement climatique. De même pour les quiches qui gesticulent en chantant « Un violeur sur ton chemin ». Osez me dire que ces filles habillées comme des sacs ne puent pas le mal être et l’aigreur à des années lumières. Et qu’on s’amuse au pieu avec Nathalie Artaud, tant qu’on y est.

    On dira que je suis sexiste, mais pas du tout : l’hystérie a son penchant masculin (étant entendu que dans ce cas, c’est un autre organe qui cause les troubles). A gauche, ce sont ces mâles sans caractère qui répètent en cœur les inepties castratrices de leurs sœurs de lutte, dans l’espoir de pouvoir les baiser. A droite, les masculinistes qui, exactement comme les féministes, théorisent en long et en large leurs névroses. Une bonne partie de jambes en l’air, et toutes ces conneries seraient oubliées aussitôt, j’en suis à peu près sûr.

    Le meilleur reflexe consiste donc à éviter tout débat, ou plutôt tout monologue agressif avec ce genre d’énergumène. Vous perdez votre temps, et renforcez la pathologie de la personne malade en lui donnant l’impression qu’elle a des choses à dire. Tout au plus, si vous êtes absolument obligé de parler, conseillez lui l’invention du docteur Mortimer Granville, cela lui fera le plus grand bien. Car comme disait un docteur célèbre, c’est toujours la chose génitale qui est à l’œuvre dans des cas pareils.